Le projet REPAPEL arrive à son terme, et le consortium auquel participe TSK franchit une étape importante vers la durabilité et la circularité dans l’industrie du papier.

5 mars, 2024

Le projet révolutionne l’industrie en réduisant les déchets et en les réutilisant comme une ressource exploitable par divers secteurs.

REPAPEL, par le biais de la recherche industrielle et du développement expérimental, recherche des solutions technologiques et de gestion pour la valorisation innovante et à haute valeur ajoutée des déchets et des sous-produits de la production de pâte à papier, en intégrant l’ensemble de la chaîne de valeur : fabricants de pâte à papier, études d’ingénierie, entreprises de traitement des déchets et industries de transformation dans les secteurs de la chimie et de la construction. En y prenant part, toutes développent des technologies pour obtenir des sous-produits valorisables et efficients pour différentes applications industrielles.

Concrètement, les travaux de TSK en collaboration avec TECNALIA se sont concentrés sur la recherche, les essais et la validation de procédés de carbonatation des cendres des centrales électriques à biomasse, fréquemment utilisées dans l’industrie du papier. Le résultat est l’obtention de la viabilité technique de procédés d’utilisation de ces cendres, issues de la combustion dans les centrales de biomasse, comme substitut du ciment dans le béton utilisé dans la construction.

Le consortium est composé de fabricants de pâte à papier : Smurfit Kappa Nervión et Zubialde ; d’entreprises d’ingénierie : Ondoan, TSK et Ekotek ; d’une entreprise de traitement des déchets, SADER ; d’entreprises d’asphalte : Campezo et Asfaltia ; d’une entreprise du secteur du béton : P. Etxeberria ; d’entreprises du secteur chimique : Feralco et Biosyncaucho. Il bénéficie de la collaboration du réseau basque de la science, de la technologie et de l’innovation,  Tecnalia Research & Innovation et CEIT, et du soutien du Cluster Basque du Papier et du Cluster Basque de l’Environnement, Aclima. Le projet est cofinancé par le gouvernement basque, par le biais de subventions HAZITEK, et par l’Union européenne, par le biais du Fonds européen de développement régional (FEDER).